Titre: Bakuman  ( バクマン。)

Année: 2008

Auteurs: Tsugumi Oba & Takeshi Obata

Nbre de Volumes: 20

Editeur: Shueisha (Japon) Kana (France)

 


Dessiné par Takeshi Obata et écrit par Tsugumi Ōba, voilà un manga qui sort du lot et pour lequel j’ai littéralement craqué! Bakuman raconte l’histoire de deux jeunes étudiants au tempérament différent, qui décide de s’unir pour écrire des mangas et devenirs célèbres. Pendant que l’un travail son dessin, l’autre pond des scénario tous plus intéressant les uns que les autres, avec pour objectif de publier leur premier shonen et de le voir adapté en dessin animé, signe de succès.

Une véritable plongée dans l’univers des mangakas au Japon, orchestré par les auteurs du cultissime Death Note! qui changent ici totalement de registre. Distribué chez  Kana aprés avoir était publié dans le Shonen Jump, le manga compte déjà 10 volumes en France contre 20 au Japon, la série venant tout  juste de se terminer. Et oui… vous avez bien lu. Pas besoin d’acheter 50 volumes pour en connaitre les dernières lignes. Nos 2 auteurs sont en effet connus pour écrire des histoires qui ont déja une fin bien précise et échelonner dans un certain temps.









Frais, sans prises de tête, j’ai découvert ce manga l’été dernier et depuis je ne décroche plus. L’intrigue est bien pensé et j’attend toujours le prochain volume avec impatience. Si l’on découvre les coulisses de l’édition, on est aussi facilement plongé dans la vie des protagonistes et de leurs problèmes, à commencer par le lien qui uni nos deux jeunes lycéens et au risque qu’ils ont prit de tout lâcher pour vivre d’une passion extrêmement difficile. On peut aisément comprendre que ce manga est inspiré de la vraie vie de nos jeunes auteurs et ce manga a le mérite d’être honnête, touchant et excitant, à commencer par les scénarios florissant qu’ils proposent et que l’ont aimerai bien voir adapté en manga :p

Fort de son succès, un anime a vu le jour avec déjà 2 saisons (50 épisodes), la 3ème étant dores et déjà programmée pour cet automne. Mais comme toujours, je vous invite vivement à consulter la version papier, ne serais ce que pour le trait de crayon… incomparable !